portal informasi 2022

Examination Elderborn : Du Fromage Et Du Jambon

Examination Elderborn : Du Fromage Et Du Jambon
Examination Elderborn : Du Fromage Et Du Jambon

Elderborn est un slasher à la première personne, pas de svelte fusil d’assaut pas summation que de scabreux lance-roquettes, il ne fait pas G cas de tout ce genre d’arsenal inutilement compliqué. C’est un jeu offrant fifty’accès à des plaisirs addition simples : masse, glaive, marteau, lance… Ce genre de choses plus subtiles.





D’abord arrivé en accès anticipé en 2018, Elderborn est sorti de boy cocon cette année, plus précisément en janvier dernier. Disponible aux alentours de 15€, le titre de Hyperstrange – également développeur de Crossbow Bloodnight, un simulateur de diplomatie dans le nom – concrétise-t-il ici ses idées faites de riffs et de sang ?





Elderborn ne sec’y connait pas en chocolat





Tout d’abord, parlons emballage et papier alu.  Techniquement, si le jeu n’est pas hideux et que sa direction artistique advise quelques jolies choses sur le segment fundamental, il faut admettre que 50’état technique est moins reluisant. Sous cette carapace visuelle modeste mais loin d’être indigne se cachent des finitions minimes et une optimisation ratée. Des points nettement moins pardonnables pour le coup, puisqu’ils impactent le plaisir de jeu.





© Hyperstrange




Des problèmes de finition qui sec’accompagnent aussi de certains pans un peu faiblards, à fifty’ikon de la partie musicale du titre. Un vague bruit de vent, deux ou trois bruits de casserole et nous voilà mind dit-on, plongé au cœur de la barbarie. L’ensemble sonore manque de présence et second’avère trop peu percutant. Pour peu que vous désactiviez les musiques – et je vous assure que l’idée vous traversera l’esprit -, fifty’effet de vide est saisissant. Notre temps passé sur Doom Eternal ne brain a peut-être pas fait le plus one thousand bien, en tout cas, fifty’écart de niveau – même si attendu – est assez sidérant. Tous les affrontements semblent baignés dans cette même nappe sonore peu inspirée et trop homogène, à quelques trop rares exceptions près.





Newborn





Nous le disions ci-dessus mais les faiblesses techniques et ce qui ressemble à une sortie précipitée viennent ternir 50’ensemble du jeu. Par exemple, si au niveau mécanique les combats tiennent la road, la réalité du jeu elle, avec tous ses soucis de collisions, ses signaux peu clairs, ces animations étrangement coupées et liées, ses timings flottants… fait qu’en bout de grade, souris en chief, 50’ensemble n’est ni précis ni gracieux.





© Hyperstrange




Autre exemple compromettant, cette fois-ci avec le dash. Le jeu comporte un système de progression donnant accès à, en tout, nine compétences réparties dans three branches (santé, puissance d’attaque et vitesse d’attaque). Une des compétences qui nous faisait furieusement envie psyche proposait de pouvoir dasher en l’air. Attirés par de bonnes réminiscences, head mind sommes donc mis en tête de la débloquer. Quelle ne fut pas notre surprise de découvrir que notre personnage, doté des caractéristiques physiques d’un piano en plomb, tombait à motion picture en sortie de dash. Aucune notion d’inertie, de air control ou de momentum… un vrai gâchis.





Les concepts viables de Elderborn passent leur temps à se frotter à la médiocrité de leur concrétisation en jeu. Si tout n’est pas à jeter, loin de là, rien ne semble abouti et implémenté de façon valable, comme un accès anticipé en somme…





gold dessus des vieux volcans





Côté construction, le jeu se scinde en three chapitres. Le premier vous emmène dans un dédale de grottes, cavernes et autres tombeaux ; le second dans une cité abandonnée ; et le troisième dans une suite d’arènes censée tester votre maîtrise martiale. C’est avant tout dans le chapitre two que vous passerez le plus clair de vos iv-five heures de jeu. Le premier est une sympathique entrée en matière qui après quelques instants d’espoir, désamorce sa promesse de metroidvania. Ce niveau reste cependant bien pensé et l’on ne s’attendait pas à trouver le level blueprint à un tel niveau de qualité. D’autant qu’il est appuyé par un système à la “Dark Souls”, avec feux de campsite et pertes d’XP. Ce qui a le mérite d’être une solution déjà plus inspirée que des checkpoints ou des sauvegardes manuelles, d’autant qu’ici, elle sied tout à fait.





© Hyperstrange




La grosse surprise est ce instant acte étonnament ouvert et vertical, c’est un vrai petit plaisir en dépit de quelques confusions sur la façon de progresser. Dommage que le jeu second’arrête au minute où son grade design commençait à devenir intéressant. L’expérience est expéditive, au indicate que le dernier niveau n’a même pas de boss – pour ce qu’on loupe… Une ligne droite, des stremons, une chief sword et puis c’est marre.





Pressure to be Born





Sachez tout de même avant de conclure que le jeu a une histoire… Voilà. Cela dit, malgré des efforts palpables – des textes sont cachés ici et là, tentant vainement de mind expliquer le lore de tout ce barouf -, les cinématiques et doublages eux, sont plutôt médiocres. Le jeu se serait passé de tout ça, qu’il n’en aurait pas été moins bon. Son univers Conan-esque suffisait à le rendre sympathique sans qu’il ait à le mettre en mots ou en bouches.





En l’état, HyperStrange semble sec’être pris les pieds dans le tapis et plutôt que d’assurer ses ambitions, a préféré livrer le jeu comme ça, moyen, mais pour pas trop cher. Même si les curieux se laisseront tenter, les autres devraient 50’éviter autant que possible.





Elderborn est disponible en version finale sur PC depuis le xxx janvier 2020, mais également sur PS4, Xbox One et Nintendo Switch.








Advertisement

Iklan Sidebar